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Maudit hiver!

Références supplémentaires

Brunel, Alain, Un 401 hiver de force pour Québec, Le Devoir, 14 avril 2008, p. 6.

Norman Pressman, Northern cityscape. Linking design to climate, Yellowknife, Winter cities association, 1995, p. 18.

Bernard Arcand, Abolissons l'hiver!, Montréal,  Boréal,  2006, 114 pages.

Stéphane Champagne et Marie-France Létourneau, Le Québec en hiver, Éditions Michel Quintin, 2006, 344 pages.

Péotti, Francine, Passeport blasphématoire pour l’hiver québécois, Montréal, Le Biocreux, 1980, 69 p.

Lamontagne, Sophie, Laurence, L’hiver dans la culture québécoise, Québec, Institut Québécois de recherche sur la culture, 1983. 194 p.

Le Soir, Sciences Santé, 11 septembre 2008, p. 19

La dépression saisonnière liée au grand transport de sérotonine en hiver

Le taux de transporteurs de sérotonine dans le cerveau serait nettement plus élevé en hiver qu’en été. C’est ce qu’on découvert des chercheurs du Centre for addiction and Mental Healh (Canada). Ces résultats obtenus (..) démontrent une plus grande évacuation de sérotonine au cours de l’automne/hiver, période où les patients bénéficient de moins de lumière du jour. Cette découverte pourrait avoir d’importante implications dans la compréhension de la dépression saisionnière.

Selon le Groupe de recherche canadien Environics :

  • 80% des conducteurs québécois considèrent que la capacité de conduire dans des conditions hivernales difficiles est un élément essentiel pour vivre au Canada.
  • 70% des Québécois pensent que les nouveaux conducteurs devraient obligatoirement suivre un cours de conduite d’hiver.
  • 25% des Québécois affirment ne pas aimer conduire lorsque les routes sont enneigés.
  • 69% des Québécois détestent davantage les activités préparatoire à la conduite automobile l’hiver (déneigement et grattage) que la conduite elle-même.

Jean-François Ferland, Les bleus électroniques, Direction informatique, commentaires, vendredi 14 décembre 2007

Les effets de l’exposition prolongée à la lumière de l’écran d’ordinateur sont peu connus. Des chercheurs étudient la question, notamment à savoir si l’utilisation de l’ordinateur peut contribuer à la dépression ou au désordre affectif saisonnier.

Francœur, Louis-Gilles, La passion du Nord, Le Devoir, 30 janvier 1999, p. F3

La réflexion sur tous les aspects de la nordicité s’intensifie au gré de l’explosion technologique, mais elle ne réglera rien, conclut Louis-Edmond Hamelin, «si l’on n’arrive pas à enterrer une certaine phobie, à accepter le froid et l’hiver, à aimer ce climat qui nous apporte beauté et inventivité au plan technique, en particulier dans le domaine énergétique.